jeudi 24 janvier 2008

Passerelle

Lyon, novembre 2007

5 commentaires:

Michel-Jean DUPIERRIS a dit…

Pour s’évader du quotidien
Quand les nuits pleurent de la suie
On laisse alors au pied du mur
L'échelle du temps abandonné

Véronique a dit…

essayer de rafistoler les morceaux de sa vie ....

Anonyme a dit…

À l’heure du berger
Au mépris du danger
J’prendrai la passerelle
Pour rejoindre ma belle

G. Brassens

Anonyme a dit…

Fenêtre comme un espoir
Judas sur le désespoir

Michel-Jean DUPIERRIS a dit…

Que cache le sparadrap ?
Que masque cette burka ?
Qui veut faire se taire le mur ?
Qui voile ses murmures ?